Nouveau chantier à Brest
bailleul guillaume - Lundi 02 Octobre 2006 à 21h27
bonjour,
j'avoue que je serai très intéressé par l'idée de retaper un dériveur, bien que je n'y connaisse pas grand chose en technique de bateaux.
pouvez vous m'indiquer dans quelles condition s vous envisagez cet échange (conditions d'accès, participation financière etc..)
J'envisage d'acheter un vieux 4.45, pourriez vous m'aider à choisr les matériaux etc...
cordialement,
j'avoue que je serai très intéressé par l'idée de retaper un dériveur, bien que je n'y connaisse pas grand chose en technique de bateaux.
pouvez vous m'indiquer dans quelles condition s vous envisagez cet échange (conditions d'accès, participation financière etc..)
J'envisage d'acheter un vieux 4.45, pourriez vous m'aider à choisr les matériaux etc...
cordialement,
LATITUDE Sailing - Lundi 02 Octobre 2006 à 22h10
Bonjour,
On peut vous aider de plusieurs façons.
Une place sous serre à l'automne ou au printemps, voire dans l'atelier l'hiver s'il y a de la place.
Un diagnostic sur le bateau que vous voulez restaurer, parfois on peut même avoir des cadeaux empoisonnés...
On peut partager les travaux.
Ce qui coûte le + cher en restauration, c'est souvent la main-d'oeuvre, le + long c'est en général le ponçage qui est accessible à tous avec un minimum de soins et de bons outils.
Concernant les matériaux, pas de pb pour les conseils et pour l'approvisionnement.
En cours au chantier, à titre d'exemple, un 505 déjà restauré au niveau coque, dérive, safran et barre(Lanaverre des années 70), un à restaurer mais que l'on va garder (Chippendale de l'année 1954, le N°38 de la série), un Finn Elvström et un caneton strale en cours, destinés à la revente en l'état ou après restauration.
Le mieux serait de passer au chantier.
Eddy Carly
LATITUDE Sailing
75, rue James Cook
29200 Brest
On peut vous aider de plusieurs façons.
Une place sous serre à l'automne ou au printemps, voire dans l'atelier l'hiver s'il y a de la place.
Un diagnostic sur le bateau que vous voulez restaurer, parfois on peut même avoir des cadeaux empoisonnés...
On peut partager les travaux.
Ce qui coûte le + cher en restauration, c'est souvent la main-d'oeuvre, le + long c'est en général le ponçage qui est accessible à tous avec un minimum de soins et de bons outils.
Concernant les matériaux, pas de pb pour les conseils et pour l'approvisionnement.
En cours au chantier, à titre d'exemple, un 505 déjà restauré au niveau coque, dérive, safran et barre(Lanaverre des années 70), un à restaurer mais que l'on va garder (Chippendale de l'année 1954, le N°38 de la série), un Finn Elvström et un caneton strale en cours, destinés à la revente en l'état ou après restauration.
Le mieux serait de passer au chantier.
Eddy Carly
LATITUDE Sailing
75, rue James Cook
29200 Brest
LATSai - Mercredi 11 Octobre 2006 à 15h44
Plan d'accès au chantier sur le site :
www.latitude-sailing.com
www.latitude-sailing.com